Au Liban, l’impact de la crise économique est sans précédent : près de 80% de la population vit en-dessous du seuil de pauvreté. Depuis 2019, les Libanais se battent pour survivre avec des revenus qui se sont effondrés, les pénuries d’électricité ou de médicaments, mais aussi l’impossibilité de toucher à leurs devises déposées à la banque.
Un espoir pour le pays : la reprise des négociations avec le Fonds monétaire international. Une de ses délégations est arrivée cette semaine à Beyrouth.
Togocom : la direction méprise les mesures sociales de Faure Gnassingbé, le personnel alerte
