Le journaliste Abdoul Akondo demande la libération des confrères Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou
Il était ce samedi matin devant les locaux du ministère en charge de la justice,dont le patron est un des plaignants.
Exhibant une pancarte sur laquelle est écrite “Libérez Ferdinand Ayité, Joël Egah et Isidore Kouwonou” Abdoul Akondo demande que le code de la presse soit appliqué à ses confrères plutôt que l’arbitraire qui prévaut en ce moment.
Depuis vendredi 10 Décembre , les trois journalistes ont affaire avec la justice togolaise.
Ferdinand Ayité et Joël Egah sont placés sous mandat de dépôt. Isidore Kouwonou lui est sous contrôle judiciaire.
On leur reproche d’avoir tenu des propos pas commodes à l’endroit de deux ministres du gouvernement
Ces trois hommes de médias sont accusés de diffamation, d’outrage et d’incitation à la haine contre l’autorité.
Les journalistes sont accusés d’outrage à l’autorité, diffamation et incitation de la haine de l’autorité.
En effet, les trois (3) journalistes convoqués à la Brigade de Recherches et d’Investigations (BRI), sont accusés sur la base de l’article 490 du code pénal, suite à des analyses portées sur le double rôle des ministres pasteurs au Togo dans l’émission « L’Autre Journal », produite sur YouTube par le journal “L’Alternative”,
Selon les indiscrétions, c’est le procureur de la République qui s’est autosaisi de l’affaire et qui a fait inculper Ferdinand Ayité, directeur de publication du journal « L’Alternative », Joël Egah, directeur de publication du journal « Fraternité » et Isidore Kouwonou, rédacteur en chef du journal « L’Alternative », écrit GAPOLA

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