Du cadre électoral en passant par le cadre de la constitution, la loi fixant les conditions d’exercices de la liberté de réunions et de manifestations publiques pacifiques, la charte des partis politiques, la loi portant décentralisation et libertés locales, le statut particulier de l’opposition, les mesures d’apaisement et le cadre permanent de l’opposition, tout est décortiqué dans ce document mis à disposition par le parti orange, document qui fait un comparatif des propositions de la CNAP et celles de l’ANC.
Le Président du parti est revenu sur les points saillants entre autres l’attitude du pouvoir à la concertation qui transparait, selon ses dires dans l’article qui retrace la composition du sénat,
« pour la nomination du tiers des sénateurs par le président de la République, il est souhaité que cette nomination se fasse dans un esprit d’ouverture ».
Pour l’actuel maire de la commune du golfe 4, la CNAP n’a pas été convoquée pour assainir le cadre électoral mais plutôt pour que des gens aient des attitudes de complaisance dans la perspective d’une nomination éventuelle comme sénateur. Pour ce qui est du statut de l’opposition, l’homme trouve qu’on n’a pas besoin de faire six mois de CNAP pour sortir ce qui selon lui est une bêtise.
Cette histoire de CNAP est un attrape nigaud dixit l’homme qui est arrivé troisième à la dernière élection présidentielle.
